Après les acras de crevettes, deuxième recette créole tirée du livre « Le grand livre de la cuisine antillaise« , le poulet coco. Je ne suis pas une grande fan des plats à la noix de coco mais j’ai aimé cette recette, juste mélange de beaucoup de saveurs sans qu’aucune ne soit trop présente ou ne devienne écœurante…
19/03/2010
Poulet coco
18/03/2010
Acras de crevettes
De retour de Guadeloupe, je me suis acheté « Le grand livre de la cuisine antillaise« . Je recommande ce bouquin qui est complet par la diversité de ses recettes, intéressant par ses explications sur les traditions, astucieux quand il s’agit de s’adapter aux produits que l’on trouve en métropole.
Première recette, première expérience : j’ai choisi de me lancer dans la préparation de ces beignets que nous avons souvent l’occasion de goûter là-bas, les acras. Traditionnellement, ils sont servis à la morue. Mais comme le livre propose aussi bien la morue que les crevettes, les écrevisses ou les légumes ; je choisis les crevettes. (Lire la suite…)
15/03/2010
Riz cantonnais
On a déjà fait un wok à base de poulet et de vermicelles (et on en fera certainement d’autres…) mais pas encore à base de riz. Avant de se lancer dans les Nasi Goreng et autres spécialités indonésiennes, je propose de commencer par un classique asiatique, le riz cantonnais.
04/03/2010
Poulet façon basquaise
Le poulet basquaise était un de mes grands classiques quand j’étais étudiante. Pour des questions de budget d’une part, parce qu’il était facile d’en préparer pour une grande tablée d’autre part. Les convives à l’époque étaient ravis, mais peu exigeants ; il faut dire que la concurrence était la sauce Uncke Ben’s du même nom. De mon côté, cette recette ne m’a pas laissé des souvenirs impérissables ; souvent, le poulet et les poivrons baignaient dans une sauce-bouillon qui n’avait pas réduit et n’avait que peu de goût.
Après plusieurs années sans en faire, je tente de nouveau l’expérience et parviens à un résultat de poivrons-oignons-tomates confits bien plus satisfaisant à mon goût. (Lire la suite…)
03/03/2010
Pigeons rôtis – épinards et girolles
Après la déclinaison de langoustines en mayonnaise puis au gingembre-vin blanc, le chef nous propose cette semaine des pigeons rôtis. Ceux seront servis avec une réduction de vin rouge aux échalotes et abats et accompagnés d’épinards aux girolles et de radis noirs…
On commence la préparation par la sauce, puis on s’attaque à la cuisson des pigeons pour finir par celle des légumes. (Lire la suite…)
02/03/2010
Restaurant argentin El Palenque
Le restaurant El Palenque nous a été conseillé par un ami qui a vécu plusieurs années en Argentine. La spécialité de l’Argentine étant la viande, il est recommandé de s’y rendre quand on a une bonne envie de grillade.
On commence par des empanadas, chaussons farcis de boeuf haché, raisins, olives, oignons et épices (poivre, cumin, paprika). (Lire la suite…)
01/03/2010
Polenta aux champignons et graines de pavot
Pour accompagner le filet de poulet en croûte d’olives, il nous a été proposé de préparer de la polenta aux champignons. La polenta se prépare à partir de semoule de maïs. Une grande première pour moi ; je n’en avais jamais préparé, et rarement dégusté. Au final, on ne rencontre pas de grande difficulté sur le chemin de la préparation.
Filets de poulet en croûte d’olives
A l’occasion du 30 minutes chrono à l’Atelier Guy Martin, nous avons découvert deux recettes. La première est un filet de poulet en croûte d’olives. J’aime ce type de recettes que l’on peut faire varier au gré de ces envies et des ingrédients que l’on a sous la main. Ainsi, nous pouvons remplacer le poulet par une autre volaille ou un poisson, les olives par des tomates séchées, des amandes ou encore des herbes.
30 minutes chrono à l’Atelier Guy Martin
A l’occasion d’un enterrement de vie de jeune fille, j’avais emmené le groupe à l’atelier Guy Martin, rue de la boétie. Il s’agissait de préparer un plat en 30 minutes chrono et de le déguster ensuite. J’avais été assez déçue de l’expérience : un chef pour deux plans de travail de 8 personnes, c’est juste. Le chef en question montrait l’exemple sur un des deux plans ; on s’absentait donc regulièrement du notre. Il alternait entre un groupe et l’autre ; en revenant, s’apercevait de nos éventuelles erreurs et nous houspillait tels ses commis dans sa vraie cuisine. Nous essayions de lui rappeler que nous étions là pour nous divertir.
Un an après, poussée par mes collègues, je retente l’expérience du « 30 minutes de préparation + 30 minutes de dégustation » et ne suis pas déçue du voyage (Lire la suite…)
